Je ne sais pas si on a le droit de financer une campagne avec un président tel que Kadhafi en 2007, mais certainement pas de passer par un intermédiaire qui est un ancien terroriste recherché par l’état français, à moins que ce ne soit pour lui demander le chemin, par pur hasard, du palais présidentiel de monsieur Kadhafi. Quelle erreur d’être passé par cet intermédiaire ! Ne connaissiez vous pas le chemin du palais présidentiel ? J’ai appris qu’en justice, c’est un faisceau d’indices qui amène aux preuves. C’est fort bien, quand on n’a pas de preuves factuelles, comme par exemple avec monsieur Jubillar dont tout le monde se doute bien qu’il y a de fortes chances qu’il ait assassiné sa compagne. Dans ce cas du financement illégal il n’y a pas eu de morts induits, si ce n’est qu’ils ont contacté ce malheureux intermédiaire dans le désert lybien. Que diable sont-ils allés faire dans ce désert !*
- D’autant plus que le casier judiciaire du candidat à la présidence n’était pas vierge, pas vrai Fabrice Arfi ? Et c’est la vie, c’est même très sain qu’on ait questionné Médiapart au sujet du document, pas vrai monsieur Arfi ?