L’humanité est dans un péril permanent. A chaque révolution poussent des fleurs nouvelles, qui seront piétinées, puis recommenceront de nouveaux périls, toujours plus ingénieux, à mesure que l’ingénierie se transforme. Les croyances en un paradis terrestre s’alignent sur cette condition. La relation au réel s’amenuise de plus en plus, mais il n’a pas cessé d’évoluer en parallèle.

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