Envers une personne qui n’est pas reconnue comme humaine, l’exploitation n’aura aucune limite, aucune frontière. L’idée même que l’on puisse accorder le moindre respect à une entité vivante aura finalement disparu si l’exploitation est possible. L’être humain, sans fard, se découvre dès lors dans toute sa vérité, toute sa nature : le pire des prédateurs pensables, l’égal des premiers organismes vivants, mais avec un cerveau développé qui lui a apporté le principe d’exploitation dépassant le cadre de ses premières capacités. Mais la où la perversion entre en jeu, car figurez vous qu’elle n’est pas encore intervenue, c’est qu’il justifiera toujours ses actes par la morale et la justice.

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