Les singuliers propos que j’ai tenus hier sur Facebook font suite à de non moins singulières découvertes que j’ai faites à partir d’un compte qui figurait dans des propositions d’amis. Une apologie des dérives barbares de la secte appuyée par d’illustres poèmes, comme je l’ai constaté déjà dans un livre de William Blake publié dans une édition récente. Et face à cette atteinte gravissime, gravissime à mon intégrité la plus lointaine et intime, on peut envisager que seule la destruction de cette dérive, de quelque manière que ce soit, soit nécessaire. C’est de la légitime défense. De plus j’ai commis l’erreur de regarder cela en pleine nuit, alors que je m’étais réveillé.