Je n’ai presque plus mal au cœur, comme c’était le cas il y a des décennies, quand j’encaissais plutôt que me m’exprimer. J’ai même fait des angines de poitrine lors de ma vingtaine. Aujourd’hui je m’exprime par intermittence, pour me faire plaisir et quand j’en ai l envie. Tout à l’heure je suis resté plus d’une heure, voire deux, sans presque penser, au ralenti. Le climat social s’apaise un peu. Je ne sais pas si ce sont mes arguments ou les phénomènes paranormaux, mais ils semblent avoir compris quelque chose*. Il reste néanmoins des risques neuro vasculaires, il ne faut pas sortir à ce moment là. Je percevais cela l’année dernière, certains dimanche. C’est comme le footing, quelques fois il ne faut pas en faire, mais attaquer le whisky à la maison, et mettre à mal sa santé mentale.
- Reste les travailleurs, très doués dans leur domaine, ayant un intellect plus rapide que le mien, de vraies machines, mais il serait aisé pour moi de les noyer dans l’amplitude de ma pensée, avant que de revenir les mettre à mort dans leur propre domaine.