Une voix venue d’ailleurs.

Il n’y a rien de plus stérile que de prêcher un monde meilleur parmi les reptiliens. Laissons donc, comme de tous temps, les reptiliens aux reptiliens, et l’élite à l’élite. Pour la guerre, peu importe, nous sommes foncièrement incompatibles. Quelle aille bon train et fasse bonne mine, la guerre, oui, la guerre, qu’elle dégomme des reptiliens et fasse grand dommage, ça m’est parfaitement égal. Qu’elle tue innocents, puisque seuls les reptiliens en sont responsables, et moi nullement, que la guerre tue, et qu’on fasse commerce malsain des victimes pour prêcher son égoïsme, peu me chaut. Je n’ai rien demandé, et ne suis responsable de rien, qu’on tue autant qu’on festoie, je n’y suis pour rien.*

  • Ce texte foncièrement immoral au vu de la situation, mais pas dénué d’esprit, et que j’ai hésité à poster, notamment en faisant référence au personnage d’un film humoristique, a cependant une valeur érogène, contre toute attente, qui même dans le ridicule peut trouver sa place. Or bien entendu il n’est qu’une simple ébauche, purement spirituelle.

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