On ne voit pas ce qu’il y a derrière la parole d’un sphinx, d’un génie ou d’un soliloque. Il y a une géographie, que peu de géographes connaissent et dont peu de chimistes ont isolé l’élément. Ils les ont confondu, perdu des échantillons, cassé des tubes à essai. Ils se sont emmêlés les pinceaux, pris dans les fils et ont chuté à terre, pestant et maugréant, tandis que le sphinx toujours regardait, d’un œil indifférent, le chimiste qui chutait. Tant de gens avaient chuté dans sa vie, les éléments eux-mêmes avaient parfois été méprisants avec lui. Il restait indifférent, de cette indifférence positive qu’on n’avait pas compris, sa joie étant une grande énigme.