Il ne cherche pas, il trouve, il fusionne. Il ne cherche pas, il voie, la façade, la façade à genou, au genou du monde qui est dans le vieux bois de la porte la façade, le crépis et la belle promiscuité. C’est en des époques nouvelles, il faut toujours être le décor, être le décor en une époque est nouveau. Tous sont représentés, la façade avec ce coin de ciel et ce mur austère préserve l’humidité dans la cour, ma cour de prison altière, ma destinée réduite à un carré, ce bois pourri et dur et revêche et cette cour minuscule appartient à moi. Je suis dans mon temps dans ce si vieux décor, je suis ce qui est innocent : je vous l’ai dit, le décor s’habite, il n’y a pas de ces facéties, il n’y a pas de ces à priori et ces si stupides parti pris, il n’y a pas âme qui rit, il y a l’âme de Dieu, je me méfie de votre rire, mais pas de cette façade. Pourquoi n’êtes vous bâtis de même ?