Cette ordure de Jérôme Roustan qui était à peine une simple connaissance quand j’étais au collège, et avec qui je n’ai jamais été ami, a été locataire d’un appartement à côté du mien à Aix-en-Provence, place Richelme, où figure une fontaine avec un sanglier, et selon les dires de son ami d’enfance violent comme lui, il baisait une femme tous les soirs à cet endroit. Cet individu s’est ensuite intéressé à des particularités propres aux miennes. Agissant dans l’ombre depuis toujours, il a organisé un commerce sexuel à mes dépends, sans jamais rien me dire. Son sinistre père gérait un cabinet d’avocat à Aix-en-Procence, à l’espace Forbin*. Il avait la réputation d’être un branleur qui amassait des millions, ainsi qu’un « communiste roulant en Ferrari ». Il a payé à son fils, qui ne fout rien à part me plagier, toute l’entreprise de fraude à mes dépends. Une avocate qui était la fille d’amis de famille à Nevers*, N. H., s’est ensuite installée à Aix-en-Provence afin de travailler dans le cabinet de cette ordure.

  • Dans un immeuble célèbre pour ses miroirs sans tain, au-dessus d’un parking.
  • Qui était la seule ville où j’ai été enfant par ailleurs (entre la petite enfance et la préadolescence, bien qu’elle ait commencé la dernière année où j’ai habité dans cette ville, pendant 7 années).

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*