L’être humain se sera évertue à organiser, planifier et effectue la destruction radicale de ma personne, en choissant de manière chirurgicale des principes de destruction psychologique. Une telle barbarie relève du nazisme, des pratiques de destruction organisées et planifiées. Le paradoxe de cette organisation de la destruction est qu’elle a un objectif qui la rend d’autant plus malsaine et contradictoire : reproduire l’objet soumis aux pratiques de destruction et se servir de son potentiel et sa créativité. On peut dire que, malgré qu’il n’y ait de destruction physique directe, la barbarie égale celle qui était utilisée par le régime nazi.