Des cendres vivent dans un sous bois
Je suis seul dans une demeure évasive
L’espace est un terrain où subsiste
La main d’un astre qui a disparu
Une emprise était un doux soleil
Un espoir dansait sur des appareils
Je suis rose qui chute, pierre qui débute
Dans une terre où rien ne résiste
Des ailes disséminées se touchent
Deposees sur un sol solitaire
Des plénitudes viennent parfaire
Des soleils exstasies sur une plaine




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