La rose perdue.

Voudriez vous, près de la fontaine éclose
Vous acheminez vers mon âme enclose
Elle souffre de ne vous voir épanouir
Vos charmes dans mes longs soupirs

Voudriez vous suspendre le temps
Par la grâce précise de tous vos instants
Et qu ensemble nous soyons deux oiseaux
Soyeux et salivants d’amours plus beaux
*

Oh que nous fussions à jamais ensemble
Sans qu’aucune balise ne fasse dissemblance
À nos accords magiques et subtils
Qui dansent et frémissent dans nos pupilles !

  • Voilà.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*