Les nuances jadis faisaient la raison. Quand la neige apparaissait l’hiver, c’étaient des volutes d’autres temps plus anciens. Des étincelles de cristal sauvaient les esprits. Il y avait un tel amoncellement de nuances, que les cerveaux s epaississaient, et la candeur gracieuse des esprits découvrait chaque cristal comme le royaume manquant. Car il manquait toujours une chose à la nature et aux cités. On l’observait sur des assiettes savantes, qui nous apprenaient comme les paysages sont plus profonds dans le rêve qu’au dehors.

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