Les gourdins.

On reconnaît souvent les médias sans mélancolie. C’est le nouveau Paris, le Paris du gourdin. Ou bien en province, la province des grincheux aux commandes. Je ne me suis jamais reconnu parmi les gourdins et les grincheux, mais toujours parmi les délicats et les sensibles. J’ai une forte aura sensible. Quand j’étais plus jeune, je bataillais aussi avec les gourdins, mais de bons gourdins. J’étais même ami avec quelques uns. Je ne pensais pas aux gourdins les plus lourds. Puis je me suis écarté de tout gourdin, abandonnant la lutte et regardant en moi-même. J’y ai sûrement étais amené. Mais j’ai gardé quelque chose du gourdin : je dis ce que je pense dans ce texte par exemple.

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