La guerre ne s’arrête jamais. Si elle n’est plus physique, elle devient psychologique. La violence est infinie, elle est un moteur et un stimulant pour l’homme du commun. Florian, par exemple, incarnait* l’amour gratuit et désintéressé, un véritable sex symbol qui plus est, mais il a éveillé seulement des attentats à sa grâce, à l’amour, à sa majesté, discrète, délicieuse et sublime, impériale.** Le cycle de violence ne peut pas prendre fin, il se régénère sans cesse, s’approvisionne, se recharge. Aucune éducation, on l’a vu, ne peut en prévenir, si ce n’est ce véritable renard de Florian. Mais l’attentat est la réaction majeure de l’homme du commun.

  • C’est tout aussi valable au présent.
  • Tout comme ses fines et délicates chevilles.

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