Si des personnes qui ont violé mes données personnelles, malgré que j’ai demandé à la police d’impérativement le vérifier, ont conclu des vérités aléatoires à mon sujet, j’engagerais toute la justice française. Pour ce qui est des créations artistiques, elles allaient dans un sens opposé à celui de la violence, ou bien étaient une réaction à des comportements criminels, par exemple celui de certains journaux qui m’avaient accolé une étiquette lors même que je n’étais au courant de rien à propos de quoi que ce soit. Enfin, j’estime que la violation de la loi, soit d’un nombre colossal d’infractions au code pénal, y compris celle de non assistance à personne en danger, qui n’ont pas été traitées par la justice sont responsables de la situation internationale.