Ah mon petit Florian, tu es une source inestimable, tu construis des édifices et des statues, des bâtiments et des auberges. Mon pauvre petit, tu fais cela presque en vain, et pourtant ta vie est loin d’être absurde. Elle a un sens que tout semblait vouloir perdre. Et pourtant, tu as retrouvé le filon de ton existence et as vu l’étendue de tes constructions. Que pourrais je bien te dire, moi qui suis un simple devin, sur ce qui peut advenir de toi, tu es tellement excellent dans l’imprévisibilite, franchement tu me dépasses, je ne sais plus à quels Saints me vouer. Advienne que pourra pour toi mon petit, mais tu as bien des mérites, crois moi.