J’étais informé que certains psychopathes prenaient du plaisir à massacrer leur victime, mais c’étaient des gens marginalisés et qui étaient pointés du doigt. Or je ne pensais pas qu’on puisse véritablement faire cela en étant bien portant. Il a fallu faire un lourd travail pour ce faire. Bien que la foule se rendait jadis joyeusement et en famille à l’exécution d’un criminel, c’était tout de même pour un crime, quelque en fut la justice, qu’il était condamné. Le massacre est ici d’une autre nature, il n’est pas une crime passager ou expéditif, il est la destruction ciblee de l’innocence. La destruction pure de la pureté.

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