Ce qui était acquis dans le progressisme il y a plusieurs décennies a littéralement régressé au cours des décennies suivantes et jusqu’à aujourd’hui. On est retourné en arrière. Quant au progressisme contemporain, il se pose exactement les mêmes questions qu’il y a des décennies. Tout cela laisse penser que tout est parfaitement stable et que le progressisme va et vient sans jamais aboutir, ce qui par ailleurs est impossible. On assiste à un ballet de conservatisme, de progressisme et de fascisme sous toutes leurs formes, nouvelles en raison de l’évolution – principalement techno scientifique – des civilisations. Tout revient au même mais pas à l’identique. L’universel et l’éternel persistent toujours quelque soit le contexte, mais bonne chance pour les trouver !

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