O douceur du matin, les courants entrent
Dans la nouvelle naissance du monde
Les murs deviennent évanescents
Et l’espoir un tourbillon charmant
Des lacets de souvenirs, des projections dans l’avenir
Entêtent les musiques du devenir
Le calme de l’esprit rejoint les tournis
Et les dérives des veilles sont assagies
Florian est dès lors lui-même, œuvrant à sa guise
Pour ceux qui le suivent dans la vie infinie
Ils cultivent des principes pour eux mêmes
Et oublient ce qui pu jamais les flétrir