C’était un homme libre
D’un classicisme déconcertant
Il évoluait librement et à sa guise
Dans la chambre de son appartement
Il apprenait, et désapprenait
Il vivait selon les lois classiques
Évoluait selon qu’on l’approchait
Et ne dépendait d’aucune bêtise
Qui se greffent sur l’échine du temps
Car le temps fait sa plus belle œuvre
Quand on échappe à ses vicissitudes
On posait des embûches sur son chemin
Et lui ne pouvait pas toujours voir au dehors
Les requins impassibles qui l’observaient
Afin de faire cesser d’évoluer le temps
Il progressait, tandis que certaines niches du temps
Régressaient, violaient, pillaient
D’un œil narquois et souriant