Ma stigmatisation qui a débuté vers 2013 date de la période où je devenais plus émancipé émotionnellement. Cela a fait enrager le paranoïaque et lui a fait apporter de nouvelles injonctions à ses sujets et soldats. Je parle d’une stigmatisation manifeste. Car le comportement destructeur de l’enragé a commencé bien avant, notamment quand j’ai décidé de simplement vivre dans un appartement vers ma majorité. Il a pris cela comme un défi et je n’ai pas cru en sa stratégie de fausse gentillesse qui s’en est suivie, et qu’il n’a plus pu jouer quand je me suis d’avantage réalisé. Il est devenu d’une méchanceté glaçante.