Los Angeles a brûlé terriblement, douloureusement, intensément, ardemment. Chacun de mes mots a vengé par le feu de l’ardeur, par la magie de la douceur, par l’alpage des circonstances et des beautés incarnées, par la mesure céleste, la douceur des harmonies, et la conversion de l’inexact et de l’incertain, qui n’ont pas d’existence, mais une entité intrinsèque qui s’incarne dans le vrai, entier, et dictant comme on l’a vu aux flammes de conquérir des collines. Cela ne put se réaliser que dans les douces cendres de cet avenir, dans une poétique légère, un bonheur radieux et lointain, dans le prix de l’entente amère de ceux qui ont voulu altérer leur nature. Car là où je me suis trompé sur la situation du réel, sur les troupes de l’instant, j’ai vu juste quand assagi et menant une vie normalisée, déracinée de certaines raisons poétiques, pour être seulement la vérité naturelle, j’ai vu chaque vivant à sa place et dans une corrélation fraternelle.*
- Je plains de plus en plus la raison poétique. Comme Boèce eut raison d’en sortir et de se consoler par d’autres moyens que ce mirage informe !