Je dépends du bonheur des autres, et leur tristesse m’accable profondément. Je me dis souvent que c’est la situation techno scientifique qui a fait d’eux des malheureux, mais après tout je l’utilise beaucoup aussi. Je suis d’une nature solitaire, comme vous l’avez remarqué au-delà du complot, mais j’ai du mal à voir ce qui dérange les gens. Il y a une chose qui m’échappe. Sont-ils à la recherche d’un idéal qui n’existe pas ? Ils n’en connaissent pas suffisamment peut-être. Je ne parle pas des enfants de moins de 20 ans qui apparemment savent s’amuser et s’égayer (oui oui) encore.