Un animal s’était rendu sur un porche. Il vivait aux abords d’une plaine de papier qui touchait un vivarium de collages. Des serpentins annonçaient le soleil sur une dalle en marbre. Lorsque je me fus tourné vers un appartement floral, je crus voir des lianes de pétales sur l’avenir d’une cloison. Elles parlaient au silence dans un langage que des pierres recueillaient. Je fus étonné, que les multitudes d’or ne signifiaient rien. Car c’était le silence, empreint de fossiles invisibles qui aimait plus encore, les jours où tremblait mon âme.

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