Le grand siècle.

Je fus en monde étrange
On parla de moi sans que m’aperçoive
Des paroles qui tournaient

Elles imprimaient dans l’atmosphère
La vérité de leur existence
À croire que rien n’exista

Mais flamme sensible
Le monde me disait que fus roi
En ces cercles qui existaient

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*