Il y a trois réactions possibles à la mort d’un enfant dans le monde : ou bien une indifférence nécessaire (on ne peut pas s’effondrer dès qu’un enfant meurt, mais tout au plus s’engager), ou bien un effondrement si c’est un proche, ou bien, chose rare, une culpabilité si on l’a exploité précédemment (normalement).

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