La semence divine n’est dans aucun corps mais dans l’âme du poète. L’aveuglement et l’instinct conduisent à des bizarreries. Il n’y avait plus rien de l’humain, quand la semence fut détruite. Les dieux s’en allèrent, et les anges se retournèrent contre eux-mêmes. On avait inventé des formules oiseuses. Dans le fond des mers les hippocampes moururent.