Il y a une belle entrave en lui, elle lui fait parfois un doucereux sentiment, parfois ces dents de scies, des lettres majuscules, de grands espoirs de longues écritures, des douves oubliées, dont le clair du vert possède d’immenses histoires d’un continent, d’une région, que les pleurs de quelques hommes ont alimenté. Les jalouses le meurtrissent, canonnent ses meurtrières et prennent ses étoffes, elles le trainent dans la boue. Il est le saint, elles les envahisseurs, des grenouilles qui complotent et coassent dans les douves. Elles choisissent le tort qu’elles peuvent faire, en appuyant sur la persécution la plus violente, pour fissurer et ternir ses contreforts, son palais, les pierres enchantées, la rosée sur les terres agraires, sa vision d’un monde perfectible. Elles foulent le sol indigène d’un silence, l’horizon flou d’une altitude, l’atmosphère empli d’émotions. Pour cela les filles choisissent de s’allier avec ce qui ne leur correspond pas du tout, afin de détruire l’enfant prodige, l’enfant de ces terres agraires et sublimes qu’elles sifflent de leur haine, abattent de leurs rires et leurs forfaits, parce qu’elles auraient voulu le rejoindre, partager leur amour avec celui qu’elles aiment.