by Florian

Labour

Le progrès qui fait de l’homme un parasite
Me laisse aux mains d’une détresse séculière
On mange si bien dans le temps ce qui n’est plus
Que j’enjambe des bretelles pour partir
Je ne veux plus de ces semblants de merveilles
À moi seulement le devenir
La force qui n’a rien à voir avec le moindre appareil

Je dévaste les champs
Je suis seul sur la terre parmi le délire
Et le seul relief