GRANDS ESPACES

Tu vois comme le rêve est vert et le désert ardent
Il recèle la dernière parcelle encore
Que je t’avais offerte. Dans le système inféodé
Il y eut la belle marque des anges du commencement
Dans l’espace est une entrave, un petit tas d’os
Laissé la par un serpent, un squelette de rongeur
Et sa mue un peu plus loin tremble dans le temps
Un vent tourmente l’épine dorsale d’un cactus
Tandis que les oiseaux dans ce monde
Pépient bien que l’inhospitalité règne
Des pauvres bêtes vont à leurs affres de sable
Leur appartenance biologique se dévoile
Petits êtres qui dégénèrent à chaque seconde
Et semblent se parfaire dans ce néant jaune
Ils tumultuent, ils rient, ils mangent comme
A la soupe populaire, et je règne dans une contemplation
Dans la grande aire de ce sabl
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