Le sang des céréales

Plus pourris encore
Qu’un vaste champ agraire
Il se rappelle les poulaillers sommaires
De son enfance dans les champs
Puis martèle l’indicible matière
Qu’il aimerait tant pouvoir éprouver
Dans le coin des granges et des lampes.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*