by Florian

STONE AU BORD DU RHÔNE

J’ai toujours cru que les œillets disparaissent
Quand la brisure légère fait des étincelles
Dans le cerveau profond et qu’il est à la surface
Des surfeurs newwave qui mangent les électrons

Mais la page se tourne quand font volte-face
Le caniche de madame et le chiwawa de monsieur
Alors sonnent les véritables places, dans les émois douteux
Des panaches et des termes qui se nouent aux frégates
De l’épiderme des dieux et du fleuve capricieux