Filles
Filles maladives que le vent ne prend pas dans ses bras
Si ce n’est pour détacher ce malaise et cette bêtise
Du timbre du rocher où l’eau ne se boit pas
Vous me pulvérisez dans le monde sous-jacent
Dans la crise de n’être que plus en détresse
Et plus en retrait des terres et des toits mais dans le monde
Qui se voit uniquement dans les muscles en prières
Et les clairières disjointes où je suis l’élément compact
La densité se ferre et se dissout pourtant
Dans les plaines et contrées et chemins
Où l’on ne décide que du vin.
Laisser un commentaire