Ce qui n’a pas d’immanence en soi* ne peut rien produire de durable. Seule la mécanisation peut la suppléer, dans les esprits ou la machine. Ce qui n’a pas d’immanence en soi vise aussi, historiquement, à reproduire des schémas parfois arbitraire de cohésion et d’ordre, dans lesquels la liberté de chacun est reléguée à sa place respective, avec les imaginaires qui lui sont propres. On à élaboré pour cela de grands récits fictifs. Ces récits produisent de l’immanence à leur tour, tandis que des contre récits peuvent éveiller d’avantage de frustration et de méfiance. Ces récits parfois, semblent des protections face à un chaos potentiel et à l’anarchie.**
- Elle est plus présente chez les femmes.
- Où vous situez vous entre la fiction et la réalité ?