J’aimerais bien, moi être gentil et agréable dans mes textes. Mais c’est ce que je suis et fais, j’étale une languissante panoplie de sentiments qui forment le comos… Je bâtis un véritable monde à venir. Les souffrances que j’endure y sont montrées telles quelles, elles sont la vérité, elles ne peuvent pas ne pas être car elles sont et ont été perpétrées. Ah que de dommages semblent être causés par mes paroles. Pourtant nous sommes bien une majorité d’humain n’oubliez pas, à avoir les pieds qui touchent l’espoir et la vérité de notre monde, et le visage à quelque distance dessus, qui pense et façonne ce que notre corps perçoit. Ma souffrance emportera le mal, et mon bonheur maintiendra l’augure confiance, les cathédrales de chaque instant.