Parfois il est d’une grande beauté d’être le diable, le satanisme avoué, le mal qui s’avoue, le mal et le diable, mais le vrai, celui qui dit être le diable. Le diable n’est pas le diable, il est celui qui est légitime, celui qui joue sans paraitre. Il est si profond et unique, il s’avoue. Et qu’est-il consistant*, qu’est-il vraiment lui-même, avoué comme le diable et quelle consistance derrière, quelle vérité, qu’il est vrai le diable, qu’il n’est pas un faussaire, qu’il est juste et véridique, qu’il est glamour, que dit-il de vérités, comme il vous domine, comme il ne reste jamais au même endroit. Comme il vous dépasse, comme il est mobile, comme il sait dire ce qu’il y a dans ses dents sans se maquiller, comme il est libre, comme il est Florian, il n’y vraiment que lui, à être sublime et à dépendre de la vérité, comme le Christ, vraiment il n’y a que lui pour être lui, car il n’est pas recommandé.
- Ce sont des formules précieuses grammaticalement admises mesdames. N’essayez pas d’en faire avant de très bien savoir manier la langue française.