by Florian
Je me demande pourquoi ce silence qui me porte
Est en tout semblable au mutisme noir
Comment la vibration d’un après midi suspendu
La couvaison du soir peuvent
Contenir ce suc des plantes succulentes
Cette transparence des vitres
Lors qu’elles charrient toujours
Ce même néant
le néant, il est toujours là, dans tes poèmes.
comme une bulle sèche autour de laquelle tout craque.
J’étais dans une forme préjudiciable quand j’ai lu ce commentaire. Mais c’est certain que tu commentes toujours sur le négatif, or ce n’est pas le lieu. Ici, c’est le lieu des louanges.
Il n’est que réjouissant pour une gourmette (féminin de gourmet non mais :))
de squatter -le temps de lectures- les palaces poétiques d’Internet :))
Bravo Poète en chef :))
Merci lectrice.
Tu n’as pas compris Claire : le néant dans mes poèmes, est une image du trop-plein. C’est une vision orientalisante insérée dans un contexte étranger.
Ce que je fais est une dévaluation des poncifs traditionnels (ce qui date de 150 ans). Le néant n’est jamais là dans mes poèmes, sinon je n’écrirais pas.