Dans beaucoup de films d’horreur que j’ai vus, la victime prend souvent une pierre pour se débarrasser de l’agresseur qui tente de le tuer en lui donnant un coup sur la tête. Cela revient souvent. Il me semble qu’il s’agit d’une métaphore inversée, réflexive dira t-on, de votre comportement. Car vous auriez pu me donner un coup de pierre sur la tête pour me tuer, dans une allée sombre, comme cela a pu se faire, mais vous ne l’avez pas fait. Non vous n’avez pas choisi de me tuer de cette manière*. Vous avez choisi de faire flores et commerce de ma souffrance. Car je suis une victime de choix : réactive, résiliente, résistante, créative, gentille, originale, etc.**
- C’eût été peut-être trop risqué.
- Ce qu’explique bien Thierry Patrice qui avait fait plusieurs conférences sur la méchanceté il y a quelques années.