L’effet anxiolytique du lavage de cerveau consiste à désensibiliser du mal qui est fait à une ou des victimes. Cela devient irréel, un jeu, voire une danse, un rire. Détruire devient indolore, inconscient, plaisant. Cette désensibilisation au mal, doublé d’un sadisme évident, laisse cependant parfois un goût amer aux auteurs, notamment des femmes pour ce qui me concerne, parfois dépersonnalisées une fois l’effet anxiolytique passé, et d’avantage à nu face à elles mêmes et l’inanité qu’elles ont ingurgitée. Si l’effet anxiolytique rend gourd, et donc moins enclin à l’émotion, il empêche une appréhension juste du réel et son relief, ainsi que dans le domaine spirituel. Pour les bandes masculines, les casseurs qui traquent la victime, comme je l’ai vécu pendant deux décennies*, l’effet anxiolytique a le même principe, il permet de valider des penchants masculins de voyous et de meutes, de leur apporter une illusion de virilité. D’autres encore, ont la pensée d’être charmants et reproduisent des schémas anxiolytiques qui ont trait à leur modèle, ne possédant en vérité aucune émotion réelle. L’anxiolytique sert originellement à diminuer l’angoisse, mais comme les docteurs le préconisent, il est contre indiqué dans d’autres cas*.
- Et sans que les femmes anxiolysées sans rendent compte.
- Il peut cependant y avoir une propension à l’effet anxiolytique de calmer l’angoisse suscitée par un individu anxiogène, créeant ainsi un terreau de manipulation.