Notes sur le bouddhisme

by Florian

La bienveillance est une composante essentielle du bouddhisme : sans elle, rien ne peut s’accomplir, puisqu’elle est le désir supprimé, en ce sens qu’elle soustrait la volonté de nuire à l’autre ou de plaire à son ego.

Aussi et surtout, sans la bienveillance rien n’est véritablement compris, les bonnes paroles sont prises à la volée pour de petites histoires d’arrangement.

 

Le bouddhisme n’est pas une école pragmatique, il n’agit pas selon ce qui est bon ou pas pour soi, mais cherche à savoir comment les choses doivent être vécues.

 

Le bouddhisme n’amène pas comme on le croit à l’absence de sensations, au contraire, il est la libération de toute emprise et donc la pleine possession du bonheur. L’absence de sensations comme on l’entend est une phase critique du cercle des désirs.