Le balet d’astres.

Je rêvai ainsi que songe natif
Et passai le balais sur tout désastre
Mon rêvoir était une suite d’étoiles
Ma couronne une épine maquisarde
Des rayons becquetaient des lézardes
J’étais sur une suite rocheuse de hasard
Quasiment toutes les modes, tous les courants
Traversaient mon âme languissamment
Stable ainsi qu’un bel animal, je me souvenais
Des paysages Suisses que je distinguai
Au loin, dans les tranquilles vallées
L’amour surenchérissait
*

  • Mon Dieu mais on sait pas si c’est le jour ou la nuit dans ce poème. C’est l’apocalypse, avec celle que j’aime. Nan ?

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