Le balet d’astres.

Je rêvai ainsi que songe natif
Et passai le balais sur tout désastre
Mon revoir était une suite d’étoiles
Ma courrone une épine maquisarde
Des rayons becquetaint des lézardes
J’étais sur une suite rocheuse de hasard
Quasiment toutes les modes, tous les courants
Traversaient mon âme languissament
Stable ainsi qu’un bel animal, je me souvenais
Des paysages Suisses que je distinguai
Au loin, dans les tranquilles vallées
L’amour surencherissait
*

  • C’est flippant les échanges narcissiques, mais c’est ici de l’art.
  • Mon Dieu mais on sait pas si c’est le jour ou la nuit dans ce poème. C’est l’apocalypse, avec celle que j’aime. Nan ?*
  • Tu veux que j’aille jusqu’où dis moi ?*
  • Bon on se calme, c’est rien qu’un jeu respectueux et inoffensif entre adultes.

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