Quand je suis allé voir la police nationale à Besançon, l’agente m’a dit qu’elle appellerait mon frère pour lui demander son avis. Elle a remis en question ma santé mentale et la véracité de mes propos, immédiatement, une gentille policière à l’écoute des gens. Par la suite, comme à Aix-en-Provence, la police a décidé de ne plus répondre à mes appels. Le système judiciaire, ainsi que tous les autres, en France et dans le monde entier, sont atteints par l’individu que tous connaissent parfaitement.