Comme un sommeil
by Florian
Il y a une infime différence entre le désir non-réalisé, et le désir réalisé.
Je suis dans cette sorte d’hallucination du réel où tout me pousse à croire, insinue qu’il s’est passé quelque chose. J’en suis à ce point convaincu qu’il s’est peut-être passé quelque chose.
Je suis celui où tous les possibles sont venus s’agglutiner tant et si bien que je suis devenu strictement imaginaire, prisonnier du possible.
c’est une hypothèse particulière.
..je ne sais pas..il me semble que le discours touche à l’impalpable, une sorte de véracité impalpable que tous portent, il me semble aussi que la satisfaction du désir réalisé s’effiloche se dissipe et s’oubli (en quelque limbe mémorielle) et que le poids du désir irréalisé s’accroit toujours un peu plus… pourtant mon désaccord va vers la chute du discours, ou de la parole, ici, mon désaccord va au strictement imaginaire et à la captivité dans ce sens que dans le strictement imaginaire rien ne pourrait être écrit, transmit, puis, dans ce sens que le possible reste toujours éventuel et ouvert…
mais ce n’est jamais que mon point de vu
outre l’accord et le désaccord, j’aime bien lire ici, réfléchir et revenir – je te souris.