[Aux autres ou Florian parle]
by Florian
Je ne suis rien c’est un fait. Rien pour les raisons qu’on n’est rien, qu’on se dépersonnalise, se vide de soi et de toutes ces choses qui font qu’on a été. Or de ce rien vient le tout. Une origine et une destination unies par une force qu’elles ont en elles-mêmes. Elles se contredisent bien qu’elles s’affirment comme toute vie dépend d’une mort, toute naissance de ce qui prend fin. C’est là un jeu infatigable que j’ai choisi. Je ne peux regretter ce choix de n’être rien.
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(t’es drôle!)
J’aime certaines choses : » C’est là un jeu (…) choisi. »
..oui, moi également )))
..je ne pense pas qu’il ait besoin d’être dans ta tête pour … 🙂 puisque j’entend pareillement que l’auteur! c’est peut-être alors que tu ne réalises pas tout à fait la teneur de ton propos et/ou celle du texte – mais c’est là un aspect de la communication internet que je remarque fréquemment, lecture à un degré qui ne correspond pas au degré de l’écriture (vraiment fréquent).
il me reste à me farcir tout le livre de l’intranquillité pour exploiter le filon.