Lettre à l’irréprochable
by Florian
Commençons par détruire la dépression, maladie trop humaine, trop de doutes, de remises en question. Détruire ce qui agite, enfouit, déconstruit, soulève. Concentrons nous sur la pensée unique, parfaite.
Plus aucune question ne doit passer le corps de l’homme, il faut la réponse type, toutes les ramifications possibles à cette réponse prétendument authentique et sincère, alimenter l’homme parfait, écraser, nier l’angoisse.
La chair et les nerfs, au bout du processus doivent être faits, martelés d’une nuit implacable, infaillible, une nuit obsessionnelle, celle du virement automatique et de la police (flicaille de l’âme, du karma, du cri). Un petit corps charnel robotisé, indéfiniment, roulant la doctrine.
Lettre originellement adressée à Jean-François Copée.
Prétextant la sortie partielle du nucléaire proposée par le parti socialiste comme une invraisemblance et alors que l’UMP s’en branle, voilà l’engeance Copée agitant ses plumes de lèche-bottes pour noyer le PS dans une ultime tentative désespérée. Comble de l’hypocrisie et de la malhonnêteté larvée comme en témoigne l’infâme titre de son dernier torche-cul.
je l’aime ton torch’-cul
merci j’ai parlé d’un fait significatif dans ce texte à claire.
je réfléchis et …je pense que quelque chose de moi capte et connecte avec le texte surtout à cause du référent sous-jacent donc tu m’as touché un mot…cette précise imprécision pourtant que le texte lui est clair. (c’est curieux). je vais réfléchir encore..