16 octobre 10:48

Regard. C’est fébrile cet instant où tu décoctes ; ce qui va mourirC’est sur la tranche où tes yeux levésOù tes enfants de cygnes et tes œufsSe plaignent du froid nauséeux des plainesMais seulement tu es assise dans la longue ligne où sontLes coutures et les faux rêves du tissu Il n’y a rien dans […]