La chair du vide Les collines étaient tes os et ils soufflaientSur leurs bases et sur leur fonteIls se muaient en arbres et se prenaientLes uns aux autres comme les mains des femmes Ils agitaient les crêtes rocheusesAu-dessus des étangs prospères et glacésIls se concentraient dans la grande plaineDans la grande marge des joursQui n’avait […]