Après AprèsQue je sois entré dans le cœur dans la veineLe parterre où tes seins ne sont plusQu’un émail indifférenciéUne quelconque anecdoteDans le monde qui s’est ouvertEt laisse place à de plus vaste espacesDe plus tendres tendonsEgosillés comme l’oiseauParti se perdre dans la grande immensitéJe ne suis plus