O. (02.06.21)

O. Ombeline, ma chair comme les dunesPrennent sur le mal le parfum des cimesDes nues de ciment et de l’angoisse matinaleQuand se dévoilent les rigoles et les réclamesL’exposition de l’être au soleilEt que les muses prennent possession du désirLe rêve parait une liqueur amovibleSur les essieux de paradis plaintifsEt les méandres des cieux qui se […]